Les mots ont un sens, parfois ils se traduisent en actes. Du tueur qui a frappé à Toulouse et à Montauban nous ne savons pas quelle idéologie haineuse il invoquait pour prendre la vie de ses victimes. La responsabilité de l'acte est la sienne, mais il y a une seconde responsabilité bien plus large et diffuse : celle de tous ceux qui ont contribué à renforcer les discours de haine envers l'autre.
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