J'étais en train de lire certains des discours de campagne du président élu, et soudain je me suis senti choisi par une force étrange pour poster les mots suivants dans cet humble blog:
Ce jour-là, ce qui me frappa, ce furent l'écoute et l'attention, ce fut la communion, ce fut la gravité presque religieuse, ce fut l'espérance, ce fut non les applaudissements mais cette sorte de prière silencieuse que cent mille personnes m'adressèrent : il faut faire quelque chose, cela ne peut pas continuer ainsi, nous devons changer notre façon de faire de la politique.
Les italiques, c'est moi. Le texte, c'est Nicolas Sarkozy, le 29 avril 2007 à Bercy, en train de raconter son premier meeting de la campagne, Porte de Versailles.
Normalement, je ne suis pas quelqu'un qui cherche la petite bête au nom d'une laïcité incorruptible. Ce n'est pas un problème de laïcité ici. La religion ici, c'est n'est pas l'Eglise. C'est Sarkozy lui-même.
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